La Cour de cassation, par l'arrêt n° 20166/2025, précise les limites d'utilisation des éléments de preuve acquis au-delà des délais de l'enquête préliminaire pour l'application de mesures conservatoires, dessinant une frontière entre l'efficacité de l'enquête et le respect des garanties procédurales.
La Cour suprême, dans l'arrêt n. 20171/2025, délimite les frontières entre l'issue positive de la mise à l'épreuve et les demandes de réparation de la partie civile. Une analyse approfondie pour comprendre quand l'extinction de l'infraction préclut la condamnation au paiement des dommages et intérêts et des frais de procédure dans la procédure pénale, offrant des éclaircissements sur un enjeu crucial.
La Cour de Cassation, par l'arrêt n° 16684 de 2025, a clairement défini les limites de la concession supplétive pour l'occupation abusive du domaine maritime. Découvrez pourquoi un acte d'autorisation postérieur à la constatation de l'infraction ne peut régulariser l'illégalité et comment la bonne foi n'est pas invocable, avec des implications importantes pour ceux qui gèrent les biens côtiers.
Nous explorons la récente décision de la Cour de Cassation (Arrêt 19043/2025) qui établit les limites de validité de la notification du décret de citation à comparaître à l'accusé déclaré à tort en fuite, en soulignant l'importance de la connaissance effective du procès pour garantir le droit à la défense et la nullité absolue en cas de violation.
La Cour de cassation, par l'arrêt 14835/2025, réaffirme que celui qui adhère au plaider coupable renonce à contester les accusations même en présence du Procureur européen délégué : le recours reste admis uniquement dans les cas impératifs de l'art. 448, al. 2-bis c.p.p. Approfondissons les implications et les impacts pour les entités visées par le décret législatif 231/2001.
La Cassation, par l'arrêt 14834/2025, déclare non fondée la question de légitimité constitutionnelle sur l'art. 309, alinéa 9-bis, c.p.p., limitant à seul le mis en examen la faculté de demander le renvoi de l'audience de réexamen. Voyons ce qui change pour les avocats et les assistés dans le délicat équilibre entre défense et protection de la liberté personnelle.
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 13274/2025, intervient sur le délicat équilibre entre le droit de la défense et la coopération judiciaire européenne, en établissant quand la personne faisant l'objet d'une demande de remise acquiert le statut d'inculpé et peut donc faire valoir des voies de recours effectives contre la mesure restrictive.
La Cour de Cassation, par son arrêt n° 17449 de 2025, réaffirme un principe crucial en matière d'appels cautélaires : la spécificité des motifs de recours est fondamentale. Découvrez comment une omission dans l'examen peut rendre le recours irrecevable et quelles sont les implications pour la défense technique.
Une importante décision de la Cour de cassation, la n° 16950 de 2025, éclaire la question délicate de la liquidation des frais de justice en faveur de la partie civile dans la procédure de patteggiamento, en définissant les conditions et l'admissibilité du recours pour omission de statuer. Découvrez les implications de cette décision pour ceux qui recherchent la justice.
La Cour suprême de cassation, par l'arrêt n° 15248 déposé le 17 avril 2025, a statué que la partie civile peut former un recours même contre des décisions purement procédurales lorsque celles-ci entraînent un préjudice irréparable à ses droits à réparation, comme dans le cas du risque de prescription.