La Cour suprême clarifie que la saisie de données numériques effectuée par le procureur sans autorisation préalable du juge viole la Directive 2016/680 mais ne rend pas la preuve inutilisable : la nullité est annulable si le tribunal de révision intervient. Analyse et pistes pratiques pour la défense.
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 17934/2025, fixe une ligne directrice ferme sur l'interprétation du délai de présentation des moyens neufs dans le pourvoi en cassation pénal. Découvrez comment cette décision influe sur les stratégies de défense et la gestion des délais procéduraux, en soulignant l'irrélevance des reports d'audience pour le calcul du dies ad quem, sauf cas exceptionnels.
La Cour de cassation précise que l'identification erronée du juge compétent pour le recours contre les mesures de rétention du courrier des détenus en régime 41-bis est d'office relevable en légitimité : quelles conséquences pratiques pour la défense, le détenu et l'administration pénitentiaire
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 15683 de 2025, réaffirme les limites à la possibilité d'obtenir une deuxième suspension de l'exécution de la peine après le rejet de la mesure alternative, en délimitant des frontières claires entre l'art. 656 c.p.p. et l'art. 1 loi 199/2010 : voici ce qui change pour les prévenus et les avocats.
La Cour suprême revient sur le périmètre des pouvoirs du juge d'appel, réaffirmant que, tout en restant lié aux motifs dévolus, il peut relire intégralement les faits et motiver différemment. Une analyse de la sentence n. 15687/2025 et de ses retombées pratiques pour la défense pénale.
La Cour de cassation revient sur le rapport entre les recours pénaux et les intérêts civils : avec l'ordonnance n° 12507/2025, elle clarifie quand l'ordonnance déclarant irrecevable l'appel de la partie civile peut être censurée en cassation conformément à l'art. 573, alinéa 1-bis, c.p.p., en l'assimilant à la confirmation de la sentence de fond. Analyse, références normatives et conséquences pratiques pour les avocats.
La Cour de Cassation, par l'arrêt n. 15107 de 2025, établit que nier à la police des faits déjà connus des enquêteurs constitue en tout état de cause le délit de complicité de personne au sens de l'art. 378 c.p. Découvrons le raisonnement de la Cour, la normative de référence et les implications pratiques pour les personnes mises en examen, les témoins et les défenseurs.
La Cour de cassation, par son arrêt n° 19028 de 2025, clarifie un aspect crucial de la procédure pénale : quand la plainte, même dépourvue d'authentification de signature, peut être considérée comme valide si elle est accompagnée de la nomination d'un défenseur. Une analyse approfondie pour comprendre les implications pratiques et protéger ses droits.
La Cour de cassation, par l'arrêt 16498/2025, établit que les preuves acquises en première instance en présence du défenseur, même d'office, de l'accusé contumace, conservent leur pleine validité pour le jugement de responsabilité pénale, y compris en phase d'appel.
L'arrêt 12237/2025 de la Cour de cassation clarifie les conséquences du maintien administratif des étrangers demandeurs de protection internationale. Approfondissez comment l'issue de la demande de suspension affecte la légitimité de la détention et les mesures ultérieures, dans une perspective d'équilibre entre sécurité et droits.