La Cour de cassation, par l'arrêt n° 14215/2025, précise la nature de l'intention coupable dans le délit d'emploi d'argent, de biens ou d'utilités d'origine criminelle visé par l'art. 648-ter c.p. : il suffit de la simple conscience, même générique, de l'origine illicite de l'argent. Analysons les passages clés et les retombées pratiques pour les professionnels, les entreprises et les opérateurs du droit.
La Cour suprême, par l'arrêt 15701/2025, traite du cas tragique d'un passant noyé alors qu'il fuyait l'agression de quatre chiens, précisant que le simple détenteur de l'animal assume une position de garant et doit prendre toutes les précautions appropriées pour prévenir les dommages à des tiers : la clôture et la garde ne suffisent pas si elles sont inefficaces.
Une analyse claire et pratique de l'arrêt 15506/2025 de la Cour de cassation, qui redéfinit les limites de la volonté de l'auteur dans les délits de lésions corporelles : la conscience des étapes causales pertinentes suffit, sans prévoir chaque détail. Implications pour la défense, l'accusation et les juges.
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 18966/2025, définit les limites de la qualification d'agent de service public pour les employés de sociétés 'in house', requalifiant des conduites illicites. Une analyse cruciale pour comprendre les implications pénales des fonctions et la distinction entre les délits contre la fonction publique et l'appropriation indue.
La Cour suprême, par l'arrêt n° 14325/2025, clarifie quand un pourvoi en cassation est recevable contre une décision d'accord en appel qui viole l'interdiction de reformatio in peius. Nous analysons les conditions normatives, le raisonnement et les implications pratiques pour les avocats et les accusés.
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 12842/2025, réaffirme que celui qui demande la réintégration dans les délais pour s'opposer à un décret pénal de condamnation notifié doit motiver précisément la non-connaissance de l'acte. À défaut, le juge peut rejeter la demande sans autres vérifications. Voyons pourquoi.
La Cour suprême, par l'arrêt 14938/2025, précise quand le magistrat de surveillance peut révoquer la confiance en probation accordée à titre provisoire en vertu de l'art. 94 DPR 309/1990, excluant l'obligation de respecter le délai de 30 jours visé à l'art. 51-ter ord. pén. Approfondissons l'impact et les conséquences pratiques.
Avec l'arrêt n° 14175/2025, la Cour de cassation précise que, dans le délit de blanchiment réalisé par des transferts de fonds de l'étranger, un seul retrait ou crédit en Italie suffit à établir la compétence des juges nationaux, en définissant précisément le concept de « fragment de conduite ».
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 15801/2025, clarifie les limites du contrôle du juge sur l'accord en vertu de l'art. 599-bis c.p.p. : l'examen s'arrête à la pertinence de la peine convenue, négligeant d'éventuelles erreurs de calcul intermédiaires. Implications pratiques pour la défense et le parquet.
La Cour suprême, par l'arrêt n° 15659 de 2025, intervient sur le plaidoirie dans les délits fiscaux ex d.lgs. 74/2000 : lorsque l'absence des conditions de l'art. 13-bis ne rend pas la peine illégale mais seulement illégitime, avec pour conséquence l'irrévocabilité en phase d'exécution. Analyse opérationnelle pour professionnels et contribuables.