L'analyse de la récente décision n° 48560 de 2023 offre des pistes importantes sur la configurabilité du favoritisme personnel en relation avec le délit associatif, clarifiant les conditions nécessaires et la distinction avec la complicité.
L'arrêt n° 49279 de 2023 offre des éléments significatifs sur les dynamiques des entretiens entre détenus et familles dans le régime spécial prévu à l'art. 41-bis, mettant en lumière les exigences de sécurité et les droits des détenus.
La récente décision du Tribunal de Surveillance de Turin clarifie les illégalités des restrictions à la présence à l'extérieur pour les détenus soumis au régime de l'article 41-bis, soulignant la nécessité de mesures individualisées.
La récente décision n° 51399 de 2023 met l'accent sur la légitimité de la rétention du courrier pour les détenus soumis au régime de l'article 41-bis, soulignant les droits constitutionnels et les besoins de sécurité.
Analysons la toute récente décision de la Cour de Cassation concernant l'article 41-bis du code pénitentiaire et les implications sur la présomption de dangerosité des condamnés à perpétuité.
L'arrêt n° 14403 de 2024 offre d'importants éclaircissements sur la configurabilité du délit d'association de type mafieux dans des territoires différents de ceux d'origine, excluant la nécessité d'extérioriser la force intimidatrice.
Découvrons les implications de l'arrêt n° 15895 de 2024 concernant le régime pénitentiaire différencié et les entretiens prolongés, en analysant les conditions et les droits des détenus.
Analysons la récente ordonnance de la Cour de Cassation qui clarifie l'importance de la forme écrite dans le licenciement et son rapport avec la procédure de conciliation selon l'article 7 de la loi n° 604 de 1966.
Analysons l'importante ordonnance n° 10341 de 2024 qui clarifie les conséquences disciplinaires pour les conseillers financiers habilités à l'offre hors des locaux qui violent la réglementation de la Consob, en mettant en évidence les principes juridiques et les sanctions applicables.
La récente décision a clarifié que, dans le régime pénitentiaire de l'article 41-bis, il n'existe pas de droit subjectif à l'envoi de colis postaux par les détenus. Analysons les implications juridiques de cette décision.